Configuration système requise pour Moebius: Empire Rising
Minimale :
- Système d'exploitation : XP/Vista/7
- Processeur : 2.0 GHz
- Mémoire vive : 2 GB de mémoire
- Graphiques : ATI or NVidia with 512 MB RAM**
- Espace disque : 4 GB d'espace disque disponible
- Notes supplémentaires : ** - Not recommended for play on Intel systems with integrated/shared video memory
Recommandée :
- Système d'exploitation : XP/Vista/7
- Processeur : 2.0 GHz
- Mémoire vive : 4 GB de mémoire
- Graphiques : ATI or NVidia with 1 GB RAM**
- Espace disque : 4 GB d'espace disque disponible
- Notes supplémentaires : ** - Not recommended for play on Intel systems with integrated/shared video memory
J'ai pris beaucoup de plaisir à jour à "moebius" . J'adore les scénarios de Jane Jensen et j'ai trouvé celui-ci plutôt novateur.
Alors oui les graphismes sont dépassés, le jeu est à petit budget mais peu importe. Ca ne m'empêche pas de le conseiller aux amateurs du genre, sans parler que le point un clic est moribond et à vraiment besoin de soutien.
Avec Moebius, on est loin de l'excellence d'un Cognition, mais on s'en rapproche sans jamais l'égaler. De très bonnes idées donnant lieu à un gameplay original pour un point'n click, avec les phases d'observation/déduction et les analyses de dossiers historiques. Un scénario "thriller" qui donne l'envie d'avancer dans le scénario. Un héros assez antipathique mais qui a son charme (on aimera ou on aimera pas).
Le scénario admet tout de même ses limites. La théorie qui se cache derrière tout ça est intéressante, mais elle ne me convainc pas vraiment.
Techniquement, c'est un peu à la ramasse. Des graphismes pas sensationnels, des animations de personnages absoluments ratées. Il n'y a aucune sauvegarde automatique (attention aux bugs).
Chose très énervante également : le personnage refuse de prendre des objets tant qu'il n'en a pas besoin. Par soucis de "réalisme" ? Réalisme qui force le personnage à faire des aller-retours dans la ville de New York juste pour récupérer des objets. Demandez à une fille de distraire un homme au parc, puis rentrez chez vous en métro, récupérez un objet, revenez au parc : la fille et l'homme sont toujours là. Réaliste, oui... Parfois, le héros ira même jusqu'à interrompre une entrevue pour aller prendre l'avion, revenir chez lui, acheter une bouteille, reprendre l'avion et offrir la bouteille à la fille qui n'aura pas bougé de son canapé. Ridicule.
A part ça, le titre a quand même ses qualités.
L'histoire, les dialogues, et certaines énigmes sont très réussies.
La musique ressemble beaucoup à celle du premier gabriel knight ;les décors qui mixent dessins et objets 3D aussi, et enfin le personnage principal avec son humour pince sans rire est très proche de gabriel .
Les maladresses sont au niveau de l'animation des personnages quand ils se déplacent , de certains visages lors des face à face et les proportions étranges des corps; mais malgré tout le jeu est très agréable à suivre .
Un point and clic proche des sherlock holms par certains côtés c'est la surprire inattendue et très sympathique de ce jeu.
j'ai adoré les modes de déplacements, les voyages, les enquêtes, les détails à ne pas louper! je recommande!
Moebius est le dernier né de Jane Jensen. Game designer célèbre pour la trilogie Gabriel Knight. Après un Gray Matter réussi mais peut être un peu trop classique voilà le projet maudit de la dame. Le jeu a tellement été boudé par les critiques et le public que Jane Jensen a prit sa retraire.
Le premier point qui choque c’est la laideur du menu. La musique du menu est insupportable et la BD qui sert d’intro est moche et inintéressante. On a l’impression de jouer à un titre amateur plus qu’à une légende du jeu vidéo. Autant dire que ça commence mal. . .
Le début du jeu n’est guère plus encourageant, les décors, en 2D et assez jolis dans l’ensemble, contraste mal avec les personnages qui sont dans une 3D digne des débuts de la Xbox 360. Bon encore la qualité de la 3D, ce n’est pas bien grave mais les animations par contre… Disons que les animations des personnages sont au mieux risible. On a l’impression d’être d’avoir fait un bon de vingt ans en arrière. Alors oui, le public de Jane Jensen est un public de vieux barbus mais c’est pousser le rétro un peu trop loin. Dans l’absolu, faut faire le deuil de l’aspect technique. C’est moche, mal animés, ça rame pour rien et ça plante.
Malgré tout, le jeu en lui-même est sympa. Jane Jensen s’y connait pour faire des personnages et des scénarios qui tiennent la route, ce qui reste l’aspect le plus important dans un jeu d’aventure m’est d’avis.
Au niveau des mécaniques, ça reste un point & click classique. On récolte des objets, on parle à des gens et on résout des énigmes pas vraiment difficile. La touche originale du titre vient de l’analyse de personnages et d’objet. Notre personnage étant un antiquaire, il lui arrive d’avoir à déterminer si une antiquité n’est pas une fausse. Le système est pareil pour les PNJ avec qui on parle pour essayer de déterminer qui ils sont d’après le tic de gestuelle ou la façon où il s’habille. Dans les faits, on a plusieurs éléments à déterminer selon les personnes / objets à analyser et plusieurs réponses possibles. Ca ne sert à rien dans l’absolu mais c’est sympathique. L’interface aurait gagné à être plus claire mais rien d’insurmontable.
Pour conclure, le jeu a été clairement victime du nom derrière le titre car malgré la purge technique indéniable, le jeu reste un bon crû pour tout ceux qui apprécient les point & clic.
très bon scénario, énigmes et résolutions logiques, un "point-&-click" très recommandé
Fin du chapitre 1, j'hésite à continuer. Avis établi sur une petite partie du jeu, donc.
Passons sur les animations ratées et les cinématiques qui par moment flirtent avec l'incompréhensible, il reste une enquête mollassone qui enchaine les clichés (elle se maquille donc je dois en conclure qu'elle est vaine... sans blague ? et je vous passe le coup du collier... ridicule), les dialogues sans rondeurs immersives et les énigmes trop simples (oh y'a un truc dans l'eau, chouette la boutique que je viens de visiter vend une gaffe... sans déc ?) etc etc.
Le truc qui pourrait me pousser à m'y remettre : le scénario qui sans casser 3 pattes à un canard offre quelques prémisses alléchantes. Mais je ne sais pas pourquoi, accumulation initiale de poncifs peut-être, je doute que ce soit surprenant.
Edit: bon, je suis allé au bout et je persiste dans mon avis plutôt négatif.
Ce jeu est trop simple à une ou deux exceptions près (j'avoue que ça ne m'étais pas venu à l'idée de changer de ville en avion pour 2 babioles).
Le scénario est correct, dans la veine hollywoodienne d'une prospérité mondiale assurée par je vous laisse deviner qui, mais beaucoup trop téléphoné. Il faut vraiment être totalement inattentif pour ne pas instantanément comprendre qui sont les médiévaux ou tirer la bonne conclusion de la photo des blondes.
Très bon jeu, avec une histoire intéressante, des personnages qu'on apprend à connaitre et apprécier petit à petit, des moments d'émotion, quelques mini-jeux bien intégrés, et pas mal de réflexion/déduction.
un bon vieux jeu de point and click où on voyage beaucoup. Pour les amateurs d'Histoire ou d'histoire de l'art:)
Graphismes de très bonne facture, mécanique de jeu très efficace et moderne, musique excellente et scénario vraiment génial ! Bref, une perle !
Les graphismes laissent quelque peu à désirer et le gameplay est parfois agaçant lors qu'il nous force à faire des allers-retours dont on serait bien passé mais, à mon sens, cela est compensé par un scénario bien ficelé mêlant fiction et réalité ainsi que deux protagonistes attachants. Pas un seul instant je n'ai eu l'impression d'un scénario qui servait de prétexte au gameplay. Je dirais même que ce scénario méritait de biens meilleurs graphismes et un gameplay plus logique et au service du scénario.
Je recommande malgré tout ce jeu pour celles et ceux qui n'accordent que peu d'importance au gameplay et énormément d'importance au scénario.